Superlative Z900RS

La réponse :

Là on s’aperçoit que pour l’arrière il y a peut etre qq chose a améliorer..

Oui, c'est dommage, c’est le seul détail qui gâche tout.

ZephyrOliv écrit: Je me demande si la superlative a dormi dans le lit de Brico
Et ce qu'en pense madame

fabrice68 écrit: Là on s’aperçoit que pour l’arrière il y a peut etre qq chose a améliorer..

L'arrière plan mériterait un peu de rangement aussi

briconaute écrit: La réponse

Elles se font la gueule tes motos ? Chacune le phare tourné pour ne pas voir la nouvelle ?

et il lui à mis un petit chauffage d'appoint, c'est-y pas mignon : :

je suis d'accord avec toi fabrice, pour le reste elle est superbe, j'ai trouvé aussi lors de sa sortie que l'extension pour fixer la plaque sous la coque pêchait un peu, mais là je chipotte

désolé brico , je ne veux absolument pas critiquer ton nouveau jouet, loin de moi cette idée, mais je trouve que les nouvelles motos ont souvent des supports de plaque qui font "rajout " je ne les trouve pas en harmonie avec le reste et je dois dire que la 900 s'en sort encore pas mal

Tout à fait d'accord avec toi Éric . Il se trouve qu'un support de plaque court fait déjà partie des accessoires commercialisés .
Quand à l'arrière plan , sans avoir à me justifier, il faut bien dire que je suis parti à Brive en plein chantier de la maison et qu'en rentrant hier soir , j'ai tout poussé pour faire de la place à la benjamine à côté de son aînée .
Maintenant , on se remémorera ce qui se dit sur le sage qui montre la lune et de son doigt qui la pointe ...
On en reparlera si les arbres acceptent de faire des fleurs , non mais !

c'est cool s'ils ont prévu un support plus court" kawasaki," si j'avais une moto neuve comme celle-là , je ne me verrai pas "bricoler" un support maison, tiens en voila des fleurs

Surtout bien garder les pièces d'origine ! On s'en ressert toujours à un moment ou un autre.
Personne n'y pensait en 1973, mais que valent les pièces d'origine de Z1 aujourd'hui ?
Changer un arrière, c'est toujours délicat, l'esthétique globale peut être améliorée ou bien en prendre un coup.
L'arrière, c'est aussi la protection de la moto et du pilote en cas de pluie. Pour un adepte de la moto par grand beau temps uniquement, les considérations ne sont pas les mêmes que pour le "roule-toujours".
C'est pas si simple en fait.
Exemple : sur la belle jaune de Brico, (qui a l'air propre ...), y a un truc qui chagrine l'esthétique, et c'est tout simple, la plaque d'immatriculation me semble être trop droite. Quelques degrés en plus rendraient l'ensemble plus harmonieux

oui l ensemble plus harmonieux et réglementaire .......

lolo écrit: oui l ensemble plus harmonieux et réglementaire .......

une plaque peut être inclinée de 30° vers le haut vers l'arrière et de 10° vers le haut vers l'avant par rapport à la verticale, l'inclinaison de la plaque de Brico est donc dans les clous, mais c'est pas beau

Suite et fin.

Traversé de Meymac , puis nouvelle montée vers Millevache . Ils sont loin mes dix sept degrés ; un coup de pouce à la commande d’affichage et huit degrés affichés au tableau . Mes gants d’été deviennent insuffisants . Dans les zones d’ombre stagnent les dernières plaques de neiges et le vent d’Ouest s’immicissent sous mon blouson . A millevache , arrêt pour changer de gants et çà repart par la route de St Mers les Oussines sur des petites routes désertes bordées de billes de bois coupé . Traversée de Bugeat endormie par l’inactivité . Maintenant je le sais , j’en suis sûr , mon coup de cœur est confirmé . Cette moto est bien née et s’inscrit dans la grande lignée des roadsters kawasaki . Je roule en sixième quelque soit la configuration de la route et pas une ombre au tableau , pas un manquement , pas un à peu près. C’est idéalement la moto de balade qui peut se transformer en moto de baston si la nécessité de la rencontre l’oblige .
La route s’élargit à nouveau et le revêtement devient homogène et lisse . longues enfilades de courbes en légère descente qui me font gober les voitures que je double sans à coup . La vitesse est remontée à cent trente oucent quarante selon les passages et le moteur ronronne joyeusement , retrouvant ses consonnances rauques à régime stabilisé . J’en sui à deux cent dix kilomètres au compteur et il reste une barette à lajauge sur les six de départ . Je sais qu’ensuite un voyant s’allumera et que j’aurai une trentaine de kilomètres possibles. A la prochaine station , je referai le plein . Mais je sais d’ores et déjà que j’ai plus de deux cent cinquante kilomètres d’autonomie.
Arrivée à Treignac , j’ai avalé le panneau d’entrée sur la décélération aux alentours de quatre vingt . C’est à cet instant que le chat roux est sorti du fossé pour aller voir en face . Droit sur les freins , le chat doit sa survie aux ingé Brembo . Impériaux , efficaces, réactifs , ils ont stoppé net la moto sans rien perturber de son équilibre et de sa tenue de cap . L’ABS ne s’est pas déclanché car quand on a des années de freinages dans les épaules on a appris à ne pas bloquer ; Il restait donc de la marge , ce qui laisse penser à une capacité de freinage inconnue de moi en deux roues . C’est donc à cinquante que je passe la première maison de Treignac et que je m’arrète à la station service .
Deux cent douze kilomètres parcourus et environ soixante encore possible selon la jauge, l’autonomie est appréciable .
Un petit café et une cagoule pour affiner le confort et je repars versTulle qui est à une quarantaine de kilomètres . Je rentre dans la ville une petite demie heure plus tard après avoir parcouru une jolie route de campagne . Tulle est une cuvette tout en longueur dans laquelle je plonge à l’heure de sortie de bureau . La circulation s’écoule au pas et je retrouve la souplesse extrème du moteur en cinquième sur le ralenti De Superlative , la Z900RS devient super lassive. Parfois j’avance un peu et il me semble que les autres recule . C’est ainsi que l’on s’enTulle dans la circulation dans la préfecture corrézienne .
En sortie de ville , je me retrouve derrière une moto à sacoches , non identifier . Le gaillard qui la pilote décide de m’en remontrer . Et le bougre a des arguments . Les voitures doublées défilent sur notre droite alors que dans les courbes à droite le silencieux d’échappement de mon camarade de jeu semble faire office de béquille latérale . Nous arsouillons comme çà pendant quatre ou cinq kilomètres avant que mon poisson pilote ne prennent une petite route de campagne qui siffle la fin de la récréation .
J’avale les kilomètres restant à une vitesse un peu plus citoyenne et c’est avec deux cent quatre vingt kilomètres au compteur que je coupe le contact sur ce voyage inaugural .
Une chose est sure : on va bien s’entendre , elle et moi .
Vivement demain !

je suis très content pour toi mon Brico vous allez faire un beau couple
comme je ne suis pas d un tempérament jaloux ça me fait plaisir de voir de jeunes motards heureux