Barbeurk chez les Beurks - WE du 14 juillet

Ca donne envie.
On met ça sur les tablettes de l'an prochain avec le rasso, car je ne désespère pas de venir à ces RDV un jour.

En tout cas les photos raconte un peu le WE pour les absents

Petite devinette pour ceux qui n'étaient pas la.
A quoi sert le rouleau de film à bulles ?

D'accoudoir à Brico.
Merci pour ce beau week-end.
Je n'ai pas fait de photos, c'est Momone qui a tout fait.

Pas que, alors aucun Zéphyriens n'ont envie de découvrir ?

Pour emballer un truc fragile...... comme Brico ou Zézé ​​​​​​​

ratatouillot écrit: Pour emballer un truc fragile...... comme Brico ou Zézé

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Si ça pouvait être vrai !...
Enfilmé à bulles avec Zézé, mon rêve...

La petite vidéo est très sympa. Ça permet un peu d'y être par procuration. 
Quand on a connu un Barbeurk, c'est inoubliable. Un accueil, une convivialité un partage... 
C'est une fabrique de souvenirs impérissables. 
​​​​​​​Merci les Beurk pour votre gentillesse. 

Heureusement que je n'ai pas vu le rouleau, j'adore péter les bulles
 

Polo59619 écrit: Petite devinette pour ceux qui n'étaient pas la.
A quoi sert le rouleau de film à bulles ?

Protège matelas ?

Polo59619 écrit:

Petite devinette pour ceux qui n'étaient pas la.
A quoi sert le rouleau de film à bulles ?

Un bar à bière pendant l'orage du 14 juillet
 

On voit l'habitué du barbecue. En effet frigo avec un gros bloc de glace et isolation renforcée.
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Le film à bulles, c'est pas pour buller ?

Et bien voilà . C'est fait . L'avantage de rentrer doucement d'un événement comme le Barbeurk c'est que tant qu'on n'est pas rentré , on a le sentiment d'y être encore .Mais hier soir la 404 a repris sa place dans le garage et le linge sale dans la machine à laver .Quand nous avons quitté Dommartin dimanche après midi , nous avons pris la direction de la Suisse via Montbéliard pour montrer à la 404 en liberté ce que sont les Peugeot anciennes d'élevage en batterie. Très beau musée que je vous conseille puisque c'est la troisième fois que je m'y arrête .Il était déjà 18 heures quand nous en sommes sortis et , pris d'une hyposaucissémie dû au sevrage depuis le déjeuner , j'ai mis le cap sur Morteau pour équilibrer mon dosage sanguin et passer la nuit .Le lendemain matin , après un détour à la fruitière de Grand Combe des bois pour me fournir en Morbier et Comté , nous avons pris les petites routes blanches sur la carte pour rejoindre Troyes pour notre halte du soir . Après une suée pas exclusivement dûe au soleil puisqu'il n'y a pas de station services sur ces routes campagnardes , nous sommes arrivés à destination en battant un record d'autonomie avec la 404 , soit 560km avec 45 litres . Çà n'a l'air de rien dit comme çà , mais il faut compter chaque tour minute pour y parvenir . L'appart hôtel , je l'avais choisi la veille via Booking . Il semblait très bien pour y passer une nuit , tout neuf , bien situé au pied de la cathédrale dans le quartier historique , équipé d'un parking couvert dédié . Quand j'avais conclu la réservation et réglé ce qui devait l'être , j'avais reçu après coup un message qualifié « d'information importante » :La résidence Zénao vous informe que dans le but de facilité la communication transgénérationnelle , ses appartements sont installés au sein d'une résidence pour personnes âgées non médicalisées . . .. . . / . . . Si c'était si important , ils auraient pû nous le dire avant la réservation , peut être ? Nous nous sommes donc présentés à l'accueil de l'EHPAD pour notre admission , sorte de répétition générale avant l'heure . Coup de bol , je n'ai pas eu à subir de visite médicale pour certifier ma totale autonomie et mon absence de soins constants .«  Vous prendrez le petit déjeuner avec nos pensionnaires ? » ... GLOUPS !. . . Je ne me voyais pas dans la salle commune tôt le matin .Nous en avons croisé , des pensionnaires dans les couloirs , dans l'ascenceur , assis sur des bancs dans les coins d'ombres . Certains nous ont dit être fatigués, d'autres avoir trop chaud, d'autre aussi ne pas être contents de n'être pas chez eux . Bref le petit naufrage qui fait peur . Nous avons satisfait à la communication transgénérationnelle en répondant avec courtoisie , si ce n'est empressement.Nous sommes repartis mardi matin en direction de Montlouis sur Loire où j'ai mes accointances avec la coopérative viticole . Durant cette journée de mardi , j'ai senti peser sur moi le regard inquiet de Françoise accompagné de questions perfides du genre « tu n'as pas trop chaud » ? ... « tu as pensé à t'hydrater » ? «  tu ne veux pas t'arréter faire une petite halte à l'ombre » ? … J'ai senti que son regard avait changé . Je me demande si elle n'est pas rentrée dans une communication transgénérationnelle avec moi … Vie de merde !Nous avons atteint notre chambre d'hôte vers 18 heures à Azay sur Cher , pas trop loin de Montlouis sur Loire . Le propriétaire des lieux habite la campagne , la forêt devrais je dire . Maison isolée , pas de panneau directionel , «  Il faut rester discrêt avec toute la racaille qu'ils nous envoient de la ville » . Ca a été sa réponse à ma proposition de flêcher l'accès à son gîte . S'en est suivi une diatribe sur les temps modernes , les politiques , les migrants , dans un flot continue impossible à endiguer , moi qui avait juste demandé comment arriver chez lui plus facilement . Il me faisait penser à quelqu'un sans que je trouve à qui . Un ancien militaire de l'armée de l'air récemment promu au rang de retraité qui pour s'occuper loue deux chambres chez lui . J'ai fini par trouver à qui je l'identifiais quand il a voulu me montrer un séquoia qu'il a planté tout là-bas en limite de la pelouse à l'orée de la forêt : «  Mais si là bas dans l'angle juste devant les chènes » m'a t 'il précisé en tendant le bras droit , bien haut , la main tendue au dessus de la tête . Bon dieu , mais c'est bien sûr , cette petite moustache , cette légère méche , bouclée , elle , sur la gauche du front , ce petit nez légèrement en trompette et ce regard bleu acier . Ça ne peut pas être lui , ni même son fils; son petit fils sans doute …Nous avons écourté la conversation pour aller dîner . J'en avais soupé de la communication qu'elle fût trans-générationelle » ou «  trans-culturelle ». Il a tenté une nouvelle percée le lendemain matin au petit dej mais je n'étais pas trop d'humeur à supporter çà au milieu de ma tasse de café et j'ai argué que j'étais de mauvaise compagnie le matin au réveil . Après la visite de la cave de Montlouis et les courses qui vont avec nous sommes rentrés par les bords de Loire , le fleuve dont je suis amoureux , le quittant le plus tard possible à la hauteur d'Ancenis  . Nous sommes rentrés le cœur léger et les souvenirs du Barbeurk intensément ancrés en nous.Vraiment les journées de retour qui suivent le Barbeurk , c'est encore du Barbeurk , tout, comme les silences qui suivent du Mozart sont encore du Mozart . Bises émues et reconnaissantes, la Beurk Family .

Merci Domi ! ... t'as pensé à te désidrater après ce long et bon discour ?

​​​​​​​Aaah la Loire...  ich liebe dich également.
 

Génial,  trop bon de vous voir ....!!
Quelle ambiance,  qui emballe qui au fait ??
Ah ..le papier bulle ?? Bah pour tenir le Champagne au frais bien sûr !
Gros bisous à vous tous ​​​​​​​